LE CYGNE ET LA CHAUVE-SOURIS, Keigo HIGASHINO





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Présentation de l'éditeur
La vie de Kazuma bascule lorsqu’il apprend que son père, Kuraki, vient d’avouer un double homicide, le premier en 1984 – prescrit – et celui d’un avocat qui fait la une des journaux.
Bien que l’enquête policière soit close et que le procès approche, la fille de la dernière victime, Mirei, et le fils de l’accusé ont l’intime conviction que Kuraki a menti. S’il est le véritable meurtrier, pourquoi n’arrivent-ils pas à corroborer ses aveux ? Chercherait-il à protéger quelqu’un ?
Afin de rétablir la vérité, Kazuma et Mirei, le cygne et la chauve-souris, vont plonger ensemble dans le passé de leurs pères.
Higashino au sommet de son art.


Présentation de l'auteur
Né à  Osaka le 04/02/1958, Keigo Higashino 東野 圭吾 est un écrivain japonais, auteur de romans policiers.
Il travaille tout d'abord comme ingénieur pour Nippon DENSO Corporation.
En 1985, âgé seulement de vingt-sept ans, son roman "Hokago" (Après l’école) remporte le prestigieux prix Edogawa Rampo du meilleur roman policier, suite à quoi il démissionne de son emploi pour écrire à plein temps et s'installe à Tokyo.
En 1999, il remporte le prix de l'association des auteurs de romans policiers du Japon pour "Himitsu" ("Le Secret").
Il est auteur de "La maison où je suis mort autrefois" ("Mukashi boku ga shinda ie", 1994) qui obtient le Prix polar du meilleur roman international au Festival Polar de Cognac 2010.
Il a également publié "La Prophétie de l'abeille" ("Tenkū no Hachi", 1995 ), "La Lumière de la nuit" ("Byakuyako", 1999), "Le Dévouement du suspect X" ("Yōgisha X no Kenshin", 2005), "Un café maison" ("Seijo no Kyūsai", 2009) , "L’Équation de plein été" ("Manatsu no Hōteishiki", 2011), "La Fleur de l’illusion" ("Mugen-bana", 2013), tous parus chez Actes sud.
En 2006, "Le Dévouement du suspect X" lui vaut d'être le cent trente-quatrième lauréat du prix Naoki, auquel il avait déjà été nominé par cinq fois.
Il est une des figures majeures du policier japonais, son pays, où ses derniers polars se sont vendus à près d’un million d’exemplaires.


Les avis:
Jean Il faut avaler le plus vite possible les 100 premières pages, sans grande surprise. Après, on se laisse prendre par une histoire soigneusement compliquée, pleine de méandres. C'est  un peu long; heureusement la lecture est facile avec des chapitres courts.
Marie Eve Je suis d’accord avec Jean il faut avaler les 100 premières pages ,voir les 200 premières pages .Puis l’histoire devient captivante ,on a envie de savoir la vérité comme les enfants de Kuraki .